vendredi 25 avril 2014

Drenge à la Maroquinerie - Paris 20ème

Suite à ma participation à un concours organisé par Alias Production, je me suis vu offrir deux places pour assister au concert de Drende  à la Maroquinerie, jeudi 24 avril.
Je ne connaissais pas ce jeune groupe anglais composé uniquement des deux frères Loveless, Eoin à la guitare et Rory aux fûts.
Auteurs d'un album éponyme  paru en 2013, ces deux musiciens commencent à se faire un nom sur la scène anglaise en délivrant une musique, grunge/post grunge, pour ceux qui aiment les classification et dieu sait qu'en France nous en sommes friands.
N'ayant trouvé aucun volontaire pour m'accompagner, je me rendais seul dans le quartier de Menilmontant.

Pour nous faire patienter jusqu'à l'arrivée du groupe à 21 heures, un dj assurera la programmation musicale.

Il semble que ce soit là une nouvelle tendance, c'est la deuxième fois en peu de temps que j'assiste à un concert où la première partie se résume à cela. Un peu dommage.
Dès le début du set qui sera très court, 55 minutes, mais intense, le ton est donné.
Le tempo sera rapide, pas de ralentissement, les deux frères se donnant entièrement.
Le public apprécie.

Les titres interprétés au cours de cette brève prestation : The Snake /Dogmeat/ I Wanna Break You In Half/ Gun Crazy/ rUNNING Wild/ Bloodsports/ Nothing/ Backwaters/ Standing In The Call/ Face Like a Skull/ Necromance is Dead/ Favourite Son.
En rappel nous aurons droit à Let's Pretend.
Un bon moment passé dans cette petite salle, un rock minimaliste et efficace

vendredi 11 avril 2014

Kurt Vile au Café de la Danse

Jeudi 10 avril Kurt Vile était de retour sur la capitale pour un set acoustique au Café de la Danse (Paris 11ème) pour un set en solo.

Ayant particulièrement apprécié son dernier album "Wakin On A Pretty Daze", je décidais de prendre deux places pour assister à sa prestation, entraînant une nouvelle fois avec moi Mumu.

19 heures 40 ouverture des portes de la salle.
Nous nous installons face à la scène sur la première rangée de sièges.

20 heures 15 , début de la première partie assurée par Pall Jenkins.

Je ne connaissais pas cet artiste, membre fondateur du groupe Black Heart Procession, originaire de San Diego.
Seul en scène il va nous ravir avec une très bonne musique s'accompagnant à la guitare électrique Rickenbacker et sur deux morceaux à la scie musicale.
Compositions de très bonnes tenue, voix chaude, vraiment une très belle découverte pour nous, qui nous donne envie d'écouter les six albums produits par ce groupe.
Il reviendra en rappel avec Kurt Vile.

Après un quart d'heure d'entracte c'est au tour de Kurt Vile d'entrée en scène.
Vêtu simplement d'un jean et d'une chemise à carreau, pas de chichi et de mise en scène tarabisco.
Trois guitares électroacoustiques, un banjo, pas de roadies. La simplicité.
Et immédiatement dès le premier morceau, l'immense talent de Kurt apparait, sa dextérité fait mouche.
Ses chansons aussi. Pendant une heure trente il va nous enchanter interpretant plusieurs titres de son excellent dernier album "Wakin On A Pretty Daze"