mercredi 5 juin 2019

Lenny Kravitz à l'AccorHotel Arena avec toujours la même flamme

Mercredi 5 juin, Bercy accueillait une nouvelle fois la star Lenny Kravitz, on ne compte plus ses passages dans cette salle, Lenny aime Paris et nous le fera savoir.
Il poursuit son "Raise Vibration Tour" commencé l'an passé pour promouvoir son dernier album.
Le newyorkais multi instrumentiste talentueux est un vrai artiste de scène.

Mon ami Muriel m'accompagnait une nouvelle fois. Une vrai galère pour rejoindre l'AccorArena.
Les trombes d'eau tombant sur Paris en cette fin d'après midi ont rendu la circulation des plus difficiles dans la capitale qui n'a pas besoin de ça par les temps qui courent.

L'arena a fait le plein pour accueillir ce musicien comme à chacun de ses passages

A 20 heures début de la première partie dont je suis incapable de vous donner le nom qui pendant une demi heure va se donner à fond emmenée par une chanteuse se démenant comme un beau diable. Malheureusement le son était déplorable et cela n'a pas permis d'apprécier dans de bonnes conditions leur prestation,mais le public n'était pas là pour eux. Dur d'assurer une première partie.

Il est environ 21 heures lorsque Lenny Kravitz entre sur scène, juché sur un piédestal surplombant la scène  et chante le premier titre " We can get it all together" tiré du dernier album.
Il rejoindra ensuite ses musiciens en attaquant les riffs de "Fly away". Le son est puissant voire hard.
Il est à noter qu'aucuns écrans latéraux n'ont été prévus. 
La setlist du concert va alterner ses classiques, nombreux, mais aussi des titres beaucoup moins connus mais intéressants.
Nous aurons droit à une cover des Guess Who "American Women" un standard qui se terminera sur "Get up Stand up" du regretté Bob Marley.


Le public bien sûr exulte, il était acquis d'avance. Les musiciens assurent, Lenny Kravitz ne manquera pas de nous les présenter. Il y a son fidèle guitariste Craig Ross, "le maestro" qui fait des prouesses à la guitare, Lenny n'est pas manchot non plus. A la basse Gael Ann Dorsey, ancienne bassiste du grand David Bowie, aux claviers Georges Laks et à la batterie Franklin VanderBilt.


N'oublions pas l'excellente section de cuivre composée de Harold Todd, Michael Sherman et Cameron Johnson.

Le set se terminera sur "Love Revolution"

En rappel deux titres. "Here to love" "et "Let Love rule" qui va durer une bonne vingtaine de minutes durant lesquelles Lenny Kravitz va parcourir toute l'arena, fosse et une partie des gradins à la rencontre de son public, la voie lui étant ouverte par le service de sécurité.
Ce soir nous avons un droit à deux heures trente d'un bon spectacle, Lenny Kravitz étant un excellent showman, ses 54 ans n'ayant en rien entamé son dynamisme. Le public a quitté satisfait la salle ce qui est l'essentiel et sera là, il n'y a aucun doute lors de son prochain passage.


2.    Fly Away
3.    Dig In
4.    Bring It On
5.    American Woman
(The Guess Who cover) (with “Get up , Stand up tag)
6.    Fields of Joy
7.    Freedom Train
12. Low

Encore:

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